De nombreuses personnes pensent que l’espérance de vie est largement déterminée par la génétique. Or, les gènes jouent un rôle beaucoup moins important qu’on ne le pensait à l’origine. Il s’avère que les facteurs environnementaux, tels que l’alimentation et le mode de vie, sont essentiels. Voici des habitudes liées à une longue vie en pleine santé et retarder au maximum une infirmière libérale installation à cause d’une maladie invalidante.
Éviter les excès alimentaires
Le lien entre l’apport calorique et la longévité suscite actuellement beaucoup d’intérêt.
Des études animales suggèrent qu’une réduction de 10 à 50 % de l’apport calorique normal peut augmenter la durée de vie maximale.
Ensuite, des études portant sur des populations humaines réputées pour leur longévité observent également des liens entre un faible apport calorique, une durée de vie prolongée et une moindre probabilité de maladie. De plus, la restriction calorique peut contribuer à réduire l’excès de poids et la graisse du ventre, deux facteurs associés à une durée de vie plus courte.
Cela dit, la restriction calorique à long terme est souvent insoutenable et peut avoir des effets secondaires négatifs, tels qu’une faim accrue, une température corporelle basse et une baisse de la libido et peut-être des maladies nécessitant l’assistance d’une infirmière libérale installation à domicile. La question de savoir si la restriction calorique ralentit le vieillissement ou prolonge la durée de vie n’est pas encore totalement élucidée.
Mangez plus de fruits à coque
Les fruits à coque sont remplis de bienfaits sur le plan nutritionnel.
Ils contiennent des protéines en grande quantité au même titre que les fibres, les antioxydants et les composés végétaux bénéfiques. De plus, ils constituent une excellente source de plusieurs vitamines et minéraux, tels que le cuivre, le magnésium, le potassium, l’acide folique, la niacine et les vitamines B6 et E.
Plusieurs études montrent que les fruits à coque ont des effets bénéfiques sur les maladies cardiaques, l’hypertension artérielle, l’inflammation, le diabète, le syndrome métabolique, la graisse du ventre et même certaines formes de cancer.
Une étude a montré que les personnes qui consommaient au moins trois portions de fruits à coque par semaine avaient un risque de décès prématuré réduit de 39 %.
Essayez le curcuma
En matière de stratégies anti-âge, le curcuma est une excellente option. En effet, cette épice contient un puissant composé bioactif appelé curcumine.
Grâce à ses propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires, la curcumine contribuerait à préserver les fonctions cérébrales, cardiaques et pulmonaires, ainsi qu’à protéger contre les cancers et les maladies liées à l’âge.
La curcumine est liée à une augmentation de la durée de vie chez les insectes et les souris. Des études in vivo et in vitro chez l’homme ont confirmé que la curcumine peut contribuer à prévenir les maladies cardiovasculaires, le diabète, les maladies inflammatoires, les troubles neurodégénératifs et d’autres affections qui demandent l’aide d’une infirmière libérale installation à domicile.
Néanmoins, le curcuma est consommé depuis des milliers d’années en Inde et est généralement considéré comme sûr.
Rester actif physiquement
Une étude récente a montré que le risque de décès prématuré était inférieur de 22 % chez les personnes de plus de 60 ans qui faisaient de l’exercice, même si elles s’entraînaient moins que les 150 minutes hebdomadaires recommandées.
Les personnes qui atteignaient les 150 minutes recommandées avaient 28 % de risques en moins de mourir prématurément. Qui plus est, ce chiffre était de 35 % pour les personnes qui faisaient de l’exercice au-delà de cette recommandation.
Enfin, certaines recherches établissent un lien entre une activité vigoureuse et une réduction du risque supérieure de 5 % par rapport à des activités d’intensité faible ou modérée.